En matière de féminin, Freud a installé la psychanalyse dans le sillon d’une pensée millénaire où l’homme est premier et où la femme ne peut donc être qu’Autre.
L’Autre, ce différent de soi, étranger et étrange qui, défensivement, ne peut qu’être mis hors de soi et venir en second.
Pourquoi en a t-il été ainsi du féminin ?
Qu’est-ce qui de ses caractéristiques a permis la construction d’un tel mythe ?